Je veux mettre mon poing dans la gueule carrée de Mr Jump. Je voudrais le noyer dans une rivière faite de morve et de morceaux d’ongles de pieds. Mais par dessus tout, je voudrais pouvoir ENFIN l’amener à la fin du troisième niveau de ce stupide jeu.

Dans cette torture que l’on appelle Mr Jump, on trouve 12 niveaux marqués du sceau de la rage et de la frustration. Le premier est simple comme bonjour, il suffit d’apprendre à gérer le saut. Le deuxième ajoute la gestion des doubles sauts et le troisième est un mélange bizarre de ce qu’on a déjà vu dans les 2 stages précédents et de Flappy Bird.

On rage, on pleure des larmes de sang, mais ça fonctionne. C’est une expérience frustrante qui vous amènera à hurler des noms d’oiseaux des heures durant, et probablement à en inventer des nouveaux. Mais malgré les cris et les pétages de plombs on y revient toujours, persuadé que CETTE FOIS-CI c’est la bonne, et qu’on va enfin réussir à y arriver.