Données relatives au jeu :

  • Jeu casual, plateformes type « doodle jump ».
  • En anglais intégral sans nécessité de compréhension.
  • Durée de vie approximative infinie.
  • Cession de courtes de jeu d’environ «3, 4 minutes.
  • Jeu composés d’un seul univers. Pas de mode de jeu, pas de choix de la difficulté.
  • Contrôle par touches sensitives. Pas d’utilisation de l’accéléromètre.

Un concept accrocheur

Basé sur un concept ultra simple, mais très addictifs, les développeurs nous proposent ici un jeu rafraichissant sur tous les points. Visuellement c’est très agréable et très coloré. On nage dans un univers kawaï mais pas trop niais que l’on pourrait facilement qualifier de japonisant. Les décors sont très simplifiés se contentant de simples éléments légèrement animés et comme peints sur un morceau de carton. Les créatures quand à elles ne pas très nombreuses, mais leur design inspiré et rigolo apporte un peu de gaieté lors de la progression. Il est à noté que le thème musical du jeu participe aussi à ce sentiment, avec un style épuré, allant crescendo et soulignant avec brio le gameplay de plus en plus nerveux.

Le jeu s’appréhende très rapidement, la maniabilité étant ultra simple. Vous tracez une ligne élastique où vous le souhaitez à l’écran, dans le but que votre personnage la percute en retombant et rebondisse le plus haut possible. Aucuns soucis donc de ce coté là, on s’immerge très facilement dans l’univers et une partie à peine terminée, on y retourne aussitôt.
Cette simplicité volontaire rend le jeu extrêmement addictif et son gameplay nerveux, le rend beaucoup dynamique que Doodle Jump. En contrepartie, il se veut aussi plus exigeant et plus vous irez loin, moins vous aurez le temps de réfléchir.

On appréciera aussi quelques petites idées bienvenues. Notamment la connexion avec facebook et le système de sauvegarde très poussé, qui, si vous quittez la partie en plein jeu, vous ramènera au point exact où vous l’aviez abandonné.

Si tout était parfait.

Le titre parfait n’existe pas et il faudra ici aussi, composer avec quelques défauts. Le principal étant le manque de bonus et de variété lors de la progression. Certes, les décors évoluent pas mal, mais il ne faut pas s’attendre à des merveilles. Les éléments interactifs quand à eux se comptent sur les doigts des deux mains. Même reproche sur les bonus inexistants qui auraient pourtant largement leur place ici, apportant un peu de variété au soft.

L’autre point noir, c’est sa progression laborieuse. Très exigeant, seuls les meilleurs parviendront à pêter le High Score et à atteindre des planètes éloignées. On pestera donc parfois sur ce défaut rendant le titre vraiment très frustrant.