Surfant sur le succès de Cut the Rope et sur l’arrivée de Pudding Monsters, G5 Entertainment propose Green Jelly. Le joueur que l’on est contrôle ici une petite gelée verte qui souhaite simplement attraper et manger les bonbons disponibles au sein des différents tableaux, pour ensuite aller rejoindre sa maison en pain d’épice. Pour y arriver, vous allez devoir utiliser votre doigt pour lancer ce petit personnage ou bon vous semble pour qu’il puisse récupérer sa nourriture fétiche. Si les premiers niveaux sont relativement simples afin de vous faire comprendre les bases du gameplay, petit à petit, il va falloir faire équipe avec les à-côtés qui feront parfois votre malheur.

Car la gelée verte peut également s’accrocher à certains endroits pour se hisser encore plus haut. C’est à ça que servent les épingles rouges sur le tableau : la gelée peut également se balancer en créant des bras et vous pourrez ainsi la lancer avec votre doigt à un endroit inaccessible sans ce moyen. À cela s’ajoutent plusieurs « ennemis », comme des lasers, des roues qui couperont votre héros en plusieurs morceaux pour le faire tomber, et  d’autres joyeusetés du même genre.

Pour corser le défi, la physique vient vous rendre visite assez rapidement dans la partie et vous demandera parfois de couper les bras fraichement créés de la gelée verte afin que ce dernier puisse se balancer ou attraper une épingle plus haute, ou plus basse, et ainsi manger le bonbon à votre portée. Chaque bonbon récupéré vous donne alors des points afin de débloquer des niveaux supplémentaires. Il est donc conseiller comme dans tous les autres jeux du genre, de ne pas forcément terminer les plus faciles en premier et de se diriger vers des challenges plus compliqués. Green Jelly offre en effet la possibilité de sauter certains niveaux. Il y en a 60 au total, permettant une durée de vie très intéressante, même si le prix s’avère plus élevé que la concurrence. Visuellement, le héros de cette aventure manque également d’un peu de charisme ou même d’un côté mignon comme l’est Om Nom et les décors sont loin d’être splendides.