1
Vous êtes libres de vos mouvements
Dans Jumper Jon, vous pouvez plus ou moins aller où bon vous semble. Peu de jeux de plates-formes optent pour cette approche en dehors d'Hollow Knight, qui est une sorte de mélange entre un platformer et un RPG.
Ici, vous pouvez faire des allers-retours assez facilement, mais rappelez-vous que vous n'avez à chaque fois que 30 secondes pour profiter de la vue. N'hésitez pas à recommencer à un point de contrôle autant de fois que nécessaire si vous ne savez pas où aller.
Précisons qu'il existe une zone spécifique qui s'affranchit de cette règle des 30 secondes. Là, vous pouvez acheter des boîtes mystères en échange d'Âmes : ces dernières sont des petits fantômes éparpillés dans les niveaux.
2
Il est très joli
La jolie direction artistique de Jumper Jon saute immédiatement aux yeux. Ce qui rend son style si unique, c'est sa représentation de l'Enfer relativement atypique. Bien sûr, certaines choses n'étonnent pas ici, mais il y a aussi quelques petits éléments plus déroutant, notamment ses jolies couleurs vives.
Évidemment, les choses sont trompeuses puisque des monstres se cachent dans les niveaux. Mais toutes ces jolies zones à traverser rendent l'expérience plus agréable, surtout si vous accordez une grande importance aux graphismes !
3
Il est assez difficile
Jumper Jon propose un challenge plutôt relevé, un peu à la manière d'un Celeste. Tout d'abord en raison de sa règle des 30 secondes, que nous avons évoquée avant. Mais en dehors de ça, chaque zone renferme pas mal de pièges et d'ennemis. Certains peuvent être éliminés, mais il faut alors correctement gérer votre attaque.
Au départ, vous ne devriez pas avoir trop de problèmes, mais les choses deviennent rapidement plus complexes. Sachez par ailleurs que certaines zones sont plus difficiles que d'autres... mais qu'elles renferment en contrepartie bien plus de bonus.
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